(Il préconise les états généraux du maracana)
De retour de la Côte-d’Ivoire où les sélections nationales de Maracana du Bénin (séniors et supers séniors) ont pris part à la 7e édition de la Coupe d’Afrique des nations de Maracana (Mara’ Can) Abidjan 2018, le parrain de la Fédération béninoise de Maracana (FéBéMa), Bernard Houngnibo, a offert un déjeuner aux ambassadeurs béninois. Il préconise les états généraux du Maracana pour un avenir meilleur de la discipline au Bénin. C’était dimanche 7 octobre 2018 en son domicile à Sékou.
Encourager et féliciter les ambassadeurs béninois qui ont défendu les couleurs nationales à Abidjan en Côte-d’Ivoire dans le cadre de la 7e édition de Mara’Can. Tel est l’objectif du déjeuner de remerciement offert gracieusement par le parrain de la FéBéMa, Bernard Houngnibo. Joueurs des deux catégories, membres des staffs technique et médical, hommes de médias et sympathisants du maracana, tous étaient présents pour ce moment de jouissance après des kilomètres de route conclus par une troisième place au niveau des seniors et quart de finaliste chez les supers seniors. «Avoir la troisième place, ce n’est pas évident. Il y a eu douze nations. Et si le Bénin était le dernier ? Qu’auriez-vous dire ? Être troisième, c’est une mention honorable», a lâché le parrain de la FéBéMa, Bernard Houngnibo, qui a espoir que les sélections béninoises feront mieux les années à venir et peut être à Conakry en 2019 pour amener la médaille en or. «Désormais, la chose maracana sera différente à partir de maintenant», fait-il observer. «Nous allons mettre du sérieux et inviter les autorités à connaître davantage ce que c’est que le maracana», a-t-il ajouté.
Les états généraux du Maracana pour repartir sur de nouvelles bases…
Pour faire connaître davantage la discipline au Bénin, l’homme propose les états généraux du Maracana. A l’en croire, cette assise sera l’occasion de voir le fonctionnement de tout l’ensemble du système et d’étudier les perspectives pour faire triompher le Maracana. «Nous devons mettre cette discipline au même pied d’égalité que les autres», a laissé entendre Bernard Houngnibo avant d’exhorter les uns et les autres au travail. Il a invité les autorités béninoises à divers niveau à croire au sport et au maracana. «Le sport n’a pas de verve. Son langage est universel. La politique du développement doit passer par le sport», va-t-il conclure. Notons qu’au terme de ce déjeuner, la FéBéMa a remis une lettre de félicitation, une écharpe (Fimaa et Fidama) ramenée de la Côte-d’Ivoire, et une médaille de bronze au parrain Bernard Houngnibo pour son soutien pour le rayonnement du maracana au Bénin.
Abdul Fataï SANNI