Avec la promulgation des nouvelles lois électorales, plus rien ne peut arrêter la constitution des blocs. La nouvelle charte des partis politiques ayant refusé les alliances, il faut des partis politiques représentatifs au plan national. Les acteurs politiques en sont conscients, et à six (6) mois de l’échéance électorale, et ce sous l’impulsion du chef de l’Etat, ceux de la majorité présidentielle sont à pied d’œuvre. Mais des informations qui nous parviennent, au-delà des querelles de logos et de positionnement que certains ruminent encore, il y a que d’autres veulent jouer aux malins pour ne dissoudre que les alliances de partis et conserver ‘’au frais’’ leur propre parti politique comme joker en cas de qu’est-ce qu’il y a. C’est pourquoi, le chef de l’Etat doit veiller à la dissolution effective des pseudos partis politiques qu’il a demandée sur les désormais 10 ans au lieu de 20 ans préalablement annoncé. De façon pratique ou concrète, Patrice Talon doit s’assurer que le requiem des ‘’partis ‘’ politiques comme Dur Barka de Rachidi Gbadamassi, l’Unsp de Walys Zoumarou, l’Uds de Sacca Lafia, Alternative citoyenne de Rock David Gnahoui, etc, a été effectivement chanté. Ce n’est qu’à ce prix qu’il pourra apprécier ceux qui sont ‘’Rupturiens’’ bon teint et ceux qui jouent à la chauve-souris avec lui.
Worou BORO