Ce jour, jeudi 24 janvier 2019, le monde entier célèbre la journée internationale de l’éducation. En prélude à cette première édition, la Banque mondiale a publié, sur son site banquemondiale.org, un dossier diagnostic et approches de solutions de quelques maux qui minent le système éducatif dans le monde en général. Intitulé « L’enseignement dans le monde : les devoirs sont-ils faits ? », l’article met chacun des acteurs de l’école devant ses responsabilités. Morceau choisi.
« À l’occasion de la toute première Journée internationale de l’éducation, le 24 janvier, nous devons nous engager à tout faire pour doter nos jeunes des compétences nécessaires pour apprendre et apprendre encore, s’adapter à des réalités changeantes et prospérer dans une économie mondiale de plus en plus concurrentielle et un monde du travail en pleine mutation. Les écoles de demain se construisent aujourd’hui. Ce sont des écoles où tous les enseignants possèdent les qualifications et la motivation nécessaires, où la technologie leur permet de dispenser un enseignement de qualité et où tous les élèves acquièrent un socle de compétences fondamentales comprenant notamment des aptitudes socio-affectives et numériques. Ces écoles sont sûres et accessibles à tous et les élèves y apprennent avec plaisir, avec rigueur et avec détermination.
Il appartient aux gouvernements, aux enseignants, aux parents et à la communauté internationale de faire leurs devoirs afin de réaliser la promesse de l’éducation, pour tous les élèves, dans chaque village, dans chaque ville et dans chaque pays ». Ce passage, en réalité, n’est qu’un extrait du dossier dont nous proposons ici l’intégralité pour vous permettre de vous faire une idée sur ce que fait la Banque mondiale au profit de l’école, et les expériences qui marchent ailleurs. Lisez plutôt.
Jacques BOCO