(Dimanche 18 novembre, le grand jour !)
Il crée l’inédit : la première manifestation numérique. Les réseaux sociaux peuvent être utilisés à des fins utiles. Claudy Siar, visiblement, l’a compris. L’homme entend, en effet, se servir de ces canaux pour, dit-il, rendre hommages aux victimes de l’esclavage et autres. Dépité, manifestement, de constater qu’en Afrique, qu’aucun acte n’a été posé dans ce sens. «L’esclavage; aucune loi mémorielle africaine commune aux pays d’Afrique. La colonisation; aucune reconnaissance officielle africaine faisant de la domination coloniale un crime contre l’humanité. La migration; aucune solution africaine pérenne. Face à l’urgence, absence d’un plan d’envergure afin de trouver des solutions à la migration des jeunes africains en proie à tous les crimes contre l’humanité lors de la meurtrière traversée vers l’Europe», se désole Claudy Siar. Nos peuples, poursuit le Français d’origine Guadeloupéenne, ne se rendent pas compte que les épisodes du passé expliquent la situation présente. «On nous humilie depuis des siècles, on s’humilie depuis des siècles et nous restons silencieux, on courbe l’échine on se soumet, on est bourré de complexes et après on va danser, s’amuser, s’enjailler !!! », s’exclame-t-il. Son propos consiste de ce fait, à prendre d’assaut les réseaux sociaux, dimanche 18 novembre 2018. Chaque Africain, à travers une vidéo qu’il postera, va s’exprimer. Pour cet chanteur, animateur de radio et de télévision français, producteur de Couleurs tropicales sur Radio France internationale (Rfi), fondateur et copropriétaire de la radio Tropiques Fm, animateur-producteur d’Africastar et du Claudy Show, s’unir pour bâtir c’est grandir ensemble. Tout ambassadeur du 18 novembre peut également envoyer de message via WhatsApp au +33623959891 ou à groupe18novembre@gmail.com.
C.K