Les phases finales de l’édition 2022 des Olympiades Bountou vont être lancées dès samedi, 27 août 2022. Ce sera l’occasion de connaître le grand vainqueur de la discipline traditionnelle devenue moderne au Bénin grâce au leadership de Monique Dougbadji. Dans le cadre de cette dernière phase, il est lancé depuis quelques mois les challenges par département.
Après Bohicon, Porto-Novo, Parakou qui ont accueilli les étapes respectives des départements du Zou-Collines, Ouémé-Plateau et Borgou-Alibori, c’était au tour de la ville de Cotonou de faire connaître ses représentantes de l’Atlantique-Littoral. Dans ce cadre, les boutouistes de ce duo départemental se sont retrouvées sur le terrain de football de Fifadji, mercredi 10 août 2022 pour connaître leurs représentantes. Trois équipes étaient en concurrence et se sont rencontrées dans un format linéaire. Au finish, ce sont les jeunes filles de Eclaireurs et de Dragons qui ont obtenu leurs tickets pour la finale remportée par Éclaireurs (17-11), conservant son titre de championne de l’Atlantique-Littoral. Par la même occasion, cette équipe a décroché son billet pour la phase finale de cette 7ème édition des Olympiades Bountou. Dernière, Eperviers ne sera pas du rendez-vous.EuniceHounyegla, Nathalie Zossounou et Linda Alladaka sont les trois meilleures boutouistes à l’issue de cette compétition de Cotonou.
Monique Dougbadji lance le grand challenge le 27 août
Les phases départementales donnent déjà le visage des équipes qui vont disputer la phase finale de cette édition 2022 des Olympiades Bountou. Pour cette phase nationale, les deux premières meilleures formations (Sagesses et les Scorpions) de la précédente saison sont d’office qualifiées. A ces deux s’ajoutent déjà Kapas Girls, Invincibles, Éclaireurs, Dragons, Amazones, Baobab, Caméléon, et Aigles, en attendant les deux représentantes du Mono-Couffo. Ces dernières seront connues ce week-end. Au total, douze (12) challengers vont donc animer la phase nationale de cette compétition qui aura lieu au Centre communautaire «Eya» de Cotonou.
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