Le sélectionneur adjoint des Ecureuils du Bénin, Moussa Latoundji, a dévoilé lundi, 12 septembre 2022, la liste des Ecureuils du Bénin qui seront du côté du Maroc dans le cadre des journées Fifa du mois de septembre 2022 pour affronter la Mauritanie et le Madagascar. Sur cette liste, on note le retour en sélection de l’ancien N°10 du PSG, Stéphane Sessegnon qui interrogé dimanche, 4 septembre 2022 par Félix Sohoundé Pépéripé pour Radio France Internationale (RFI) s’est prononcé sur son nouveau club (Sirens Fc à Malte) et son retour en sélection. Lisez-plutôt !!!
Quel sentiment vous anime après votre retour sur le terrain ?
Un sentiment de joie. Je suis content de retrouver la pelouse et de pouvoir jouer chaque week-end. Pour le moment, j’ai un an de contrat et on verra par la suite.
Que pensez-vous concrètement apporter à l’équipe du Bénin après deux ans d’absence ?
Pour l’instant, le plus important pour moi, c’est de pouvoir rejouer avec mon Club. On verra par la suite. Mais c’est clair que l’équipe nationale a été aussi un élément déclencheur dans ma décision de reprendre le foot. S’il y a lieu d’avoir l’opportunité de rejouer en équipe nationale, ça sera toujours un rêve pour moi.
Pensez-vous que le rêve est encore permis pour le Bénin après deux sorties soldées par deux défaites ?
Le rêve est permis. Il y a encore la possibilité de pouvoir se qualifier même si nos chances sont minces. J’ai eu la chance d’avoir été aux côtés de l’équipe malgré que, je n’étais pas en activité. J’étais proche des joueurs et j’ai vu qu’ils ont de l’ambition et je pense qu’on peut se qualifier. Il y a encore quatre matches à venir et si on marche tous dans la même direction, avec le même état d’esprit, on va se qualifier. En tout cas, si moi, j’ai la chance de revenir en équipe nationale, je donnerai tout, comme je l’ai toujours fait. Après, je suis conscient que les choses ne seront pas faciles. Mais l’équipe nationale a besoin de cette qualification après avoir raté la Can au Cameroun. On en a besoin pour relever notre football parce qu’aujourd’hui, il y a de très bonnes choses qui sont en train d’être faites au niveau local. Avec le ministère des Sports et la Fédération, on fera tout pour être à cette Can en Côte-d’Ivoire.
Transcription: Roméo AKLOZO (Coll)