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La ville de Tunis (Tunisie) accueille depuis ce mardi, le deuxième sommet africain des start-up « Afric’Up». Et le Bénin est fortement représenté à ce rendez-vous continental. Au total, douze (12) start-up béninoises sélectionnées sur toute l’étendue du territoire national y participent. A leurs côtés en terre tunisienne, la ministre du Numérique et de la Digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou.
Alivo Technologie, Asma Sante, Dasco Sarl, Hemato Plus, Rema, Abc Education, Disruptech, Souba, Easy Soft, Waxangari, Fenu, Guerra Tech Hub. Ce sont les douze start-up retenues pour défendre les couleurs nationales du Bénin à cette rencontre sur l’avenir numérique de l’Afrique. Le gouvernement béninois s’inscrit donc dans une dynamique de faire du Bénin, la plateforme des services numériques de l’Afrique de l’Ouest. La délégation conduite par la ministre du Numérique et de la digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, s’est envolée, ce lundi 23 septembre, pour la capitale tunisienne.
Cette rencontre continentale qui s’est ouvert hier, mardi 24 septembre, va s’articuler autour du thème: «Villes intelligentes et innovations ouvertes en Afrique: quelles opportunités pour les start-up ». C’est l’occasion pour ces jeunes venus des start-up d’échanger avec leurs pairs des autres pays africains. Spécialisées dans divers domaines d’activités à savoir l’éducation, la santé, l’agriculture, la gestion, l’environnement et le tourisme, ces jeunes pousses béninoises saisiront cette opportunité pour présenter leurs solutions et projets numériques aux investisseurs internationaux ainsi qu’aux personnalités des domaines de l’innovation et de la technologie sur le continent. Pour l’autorité ministérielle, Aurélie Adam Soulé, elle s’est dite très ravie de ce qu’accomplissent ces start-up tout en espérant que cette expérience en terre tunisienne contribuera à la transformation digitale du Bénin. Elle leur a réitéré sa détermination à les amener le plus loin possible. Au cours de cette rencontre placée au cœur de l’agenda et de la stratégie de l’Alliance Smart Africa pour soutenir l’éclosion des futurs champions africains et promouvoir les compétences et la créativité, elle présentera une communication sur l’importance de la smart city en Afrique et le type de smart city qui convient au continent. Bon vent aux start-up béninoises.
A.B
