Littérature: Le premier numéro de ‘’Mémoire du Chaudron’’ dédicacé à Sidikou Karimou

Tiburce Adagbé, l’auteur du Livre MÉMOIRE DU CHAUDRON, a dédicacé le tout premier numéro de son ouvrage à Sidikou Karimou, administrateur du forum de discussion WhatsApp ‘’BREAKING NEWS », d’où est partie l’idée de publication du livre. Un acte de haute portée, selon l’auteur, vu le rôle déterminant joué par le magnat de la communication dans la parution de l’ouvrage.

« J’ai décidé de dédicacer le premier exemplaire de ce livre à Sidikou Karimou, d’abord pour faire acte de gratitude vis à vis d’un ensemble de personnes qu’il représente ici », c’est en ces termes que Tiburce Adagbé a exprimé sa reconnaissance à Sidikou Karimou et à travers lui, tous les membres du forum de discussion ‘’BREAKING NEWS ». A en croire l’auteur,  MEMOIRE DU CHAUDRON est né accidentellement dans le forum de discussion WhatsApp dont les membres sont les premiers à lui inspirer l’idée d’une publication. « Moi-même écrivais mais je ne savais pas que j’écrivais un livre. Et dans ce forum, j’ai été entouré de toute l’attention, de toute l’affection, de toute l’amitié qu’il me fallait pour écrire ; ce ne sont pas des choses qu’on oublie », s’est-il exclamé. Tiburce Adagbé garde encore en mémoire l’heureuse initiative de mobilisation d’un peu moins de deux (2) millions de francs Cfa par les membres du forum, pour organiser une discussion scientifique autour  des cent (100) épisodes du livre. Il s’est donc confondu en reconnaissance à leur endroit. « Et comme je ne peux pas passer d’individu en individu, c’est pourquoi je passe par l’administrateur pour lui dire merci », lancera-t-il.

Selon  l’auteur, le rôle motivateur joué par Sidikou Karimou dans la publication du livre ne s’est pas seulement limité au forum de discussion. Il s’est personnellement impliqué dans la publication, à travers des appels téléphoniques et autres actions motivatrices. « C’est sûr que le livre n’aurait pas existé si un jour Monsieur Karimou ne m’avait pas appelé et de façon très habile, m’a donné envie de continuer par écrire », a-t-il déclaré. Il reconnaît pour ce faire, qu’il faut rendre à César ce qui est à César : « le livre fait 624 pages et avec sa qualité que vous voyez, il a fallu avoir des gens qui ont cru en moi. Et parmi ces gens, il y a Sidikou Karimou et il y a aussi les autres », conclura-t-il.

Th. A.