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Ce n’est pas seulement dans le rang de l’Opposition que des grands noms seront absents du Parlement 8e législature. A part ceux dont les listes sont exclus par la Céna, il y a dans le rang de l’Union progressiste et du Bloc républicain aussi, les deux listes ayant concourir, des députés qui n’ont pu renouveler leurs sièges. Au nombre de ceux-ci, on peut citer : Benoît Dègla, Zinsou Edmond, Essou Pascal, Djiman Koffi Adolphe, Parfait Houangni, Degbey Jocelyn. Ils étaient tous députés de la 7e législature. Ils étaient tous positionnés sur l’une ou l’autre des deux listes en compétition. Mais après la proclamation des résultats par la Cour constitutionnelle, ils n’ont pas été élus. En dehors de ces députés, il y avait également d’autres qui voulaient, soit retourner au parlement, soit faire leur première expérience. Au nombre de ceux-ci : Lazare Sèhouéto, Adam Dende Affo, Christelle Houndonougbo, Egy Sossou, Alain Orounla, Théophile Soussia, Dona Jean-Claude Houssou, Goutolou Célestin, Auguste Vidégla. Parmi eux, il y en a qui ont défendu avec rage le régime de la rupture sur les chaînes de télévision ou de radio. L’avocat Alain Orounla, Lazare Sèhouéto Cristelle Houndonougbo, le ministre Dona Jean-Claude Houssou en font partie. Leur élection aurait été considérée comme une récompense pour service rendu. Mais il n’en sera rien. A moins d’être repêchés lors de la proclamation des résultats définitifs par la Cour constitutionnelle, ils devront attendre les prochaines nominations pour espérer un geste du chef de l’Etat.
M.M
