365 jours à la tête de la Commune de Bohicon: Rufino d’Almeida a posé les balises d’un réel décollage

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Officiellement investi dans sa nouvelle fonction de maire de la commune de Bohicon, le mardi 09 juin 2020, Me Rufino d’Almeida vient de boucler un an à la tête de l’exécutif communal. Le bilan de sa gestion en 365 jours mérite une analyse à l’aune de ses promesses électorales quand on sait qu’il a pris les rênes de la Commune dans un contexte politique de suspicion et de méfiance.

 

Il est souvent difficile de succéder à un baobab. Mais jamais impossible. Elu à la tête de la commune de Bohicon, beaucoup ont douté de sa capacité à poursuivre l’œuvre de développement entamée par l’exécutif sortant. Mais il a fallu  365 jours, pour que Me Rufino d’Almeida fasse déchanter plus d’uns. En un an donc, l’actuel locataire de l’hôtel de ville de Bohicon, à travers des réformes courageuses, a balisé le terrain pour un réel décollage de la commune qui l’a vu grandir. Il serait trop tôt de jubiler  et de crier victoire au regard du chemin à parcourir. Néanmoins, il faut tout de même reconnaître l’effort admirable qui est fait en douze mois de gestion du pouvoir communal car, il serait malséant à la limite ingrat,  de dire que rien n’est fait. Désigné par son parti, le Bloc républicain (Br) ayant la majorité écrasante du conseil communal, Me Rufino d’Almeida a remis, dès sa prise de service,  les agents  au travail et instauré un climat de paix et de confiance au sein de son conseil, mettant ainsi en œuvre son souhait d’unité et de cohésion en vue de  travailler pour le  mieux-être de la population. <<Mon souhait le plus ardent c’est que dans notre belle ville de Bohicon, il n’y ait qu’un seul parti. Un et un seul. Le Parti pour le développement de Bohicon (Pdb). Qu’on soit Union progressiste (Up) ou Br, on doit adhérer à ce parti virtuel non enregistré>> déclarait-il le jour de son élection. Ce souhait a été exaucé puisque les conseillers, durant  leur première année, ont, en dépit de  leur diversité d’opinions, travaillé dans un climat apaisé au profit de l’intérêt général. Ceci grâce au management du maire qui a su insuffler une nouvelle dynamique à l’administration communale à travers l’adoption d’un nouvel organigramme de type1 et  la création de la direction  des services culturels, sportifs et du genre. Un outil par lequel il promeut les valeurs culturelles, les activités ludiques et sportives puis le genre en vue de faire de la cité de Dako une destination touristique dans laquelle la jeunesse est épanouie. A ce titre, l’édilede Bohicon a rencontré les artistes et les garants de la tradition, en prélude au prochain forum sur le potentiel culturel, artistique et touristique de Bohicon, pour échanger avec eux sur sa vision. Préoccupée par l’état d’insalubrité de la ville, l’autorité communale a institué la campagne de salubrité dénommée  »Axɔvifɔ́ » ou <<Pas de prince>>.  Cette opération qui se déroule simultanément dans tous les dix arrondissements et tous les premiers samedis du mois a permis, non seulement de rendre la ville propre, de détruire les dépotoirs sauvages qui jonchent les quartiers,  d’assainir le cadre de vie des populations, mais surtout amener les citoyens à s’approprier la notion de la propreté. Après neuf mois de mise en œuvre,  les fruits ont tenu la promesse des fleurs. Bohicon est classée deuxième à l’issue du concours villes durables organisé par le FNEC. Mieux ! Le maire a reverdi les artères, les places publiques  et les grands carrefours avec des essences forestières. En un an, il a mis en terre plus 4000 plants pour lutter contre la déforestation et  les effets dus au changement climatique. Il a relancé les travaux  de lotissement  et le curage de tous  les caniveaux. En matière de sécurité, Rufino d’Almeida a laissé des impacts. Il a renforcé l’éclairage public afin de reculer les frontières de l’obscurité favorable à la commission des crimes. En complicité avec les autorités policières, il a mis en place de nouvelles stratégies pour assurer la sécurité de ses administrés.

De la mobilisation des ressources propres

Au plan de la mobilisation des ressources propres, les résultats sont édifiants. Il a créé la régie des unités marchandes en vue de lutter contre l’évasion fiscale, dynamisé les gares routières et puis amorcé un combat farouche contre les chargements hors parcs, sources de nombreux cas d’accidents à l’intérieur de la ville. C’est un phénomène qui continue de résister à la pression de l’autorité. Mais elle ne démord pas puisque convaincu d’en venir à bout. Sans risque de se tromper, on peut affirmer que les caisses de la commune sont mieux renflouées qu’avant. Ce qui a d’ailleurs permis  le remboursement des dettes en instance et le paiement des arrièrés de salaires des agents et des chefs quartiers. Dans le domaine de l’éducation, l’édile de Bohicon, fils d’un enseignement, a fait de la construction des infrastructures scolaires une priorité absolue. Plus d’une cinquantaine de salles de classes sont déjà construites au profit des enseignements et écoliers. La santé n’est pas occultée. Le centre de santé communal a  aussi bénéficié d’infrastructures. Grâce au leadership de l’autorité, Passagon a pu avoir une mini-centrale photovoltaïque pour l’autonomie énergétique. De nombreuses réalisations palpables  en faveur des citoyens.  Sans tambour ni trompette, Me Rufino d’Almeida donne la preuve et l’assurance  à ses détracteurs qui prédisent son échec  qu’il n’est pas élu pour se servir, mais servir la population.  Les jeunes de Koklofinta, autrefois hostiles aux promesses du maire, se sont maintenant réalisés qu’il est un homme de défi et non un démagogue. Fidèle à son plan de développement en lien avec les aspirations de ses mandants et  ses promesses électorales, Me Rufino d’Almeida joint acte à la parole.  Cette attitude rare inobservable chez les politiques fait dire au Chef de l’arrondissement (CA) de Sodohomè que Me Rufino est un maire exceptionnel. Séduit par l’humilité et l’honnêteté qui caractérisent l’homme,  Patrice Agonhèssou, le CA/Sodohomè lui a même juré fidélité. Les jeunes de Koklofinta ont aussi déclaré leur soutien au maire.  Comme eux, beaucoup d’autres couches qui étaient en marge de ce processus de développement  comptent rallier le navire Pdb pour ne  pas se laisser en rade. Artisan chevronné de paix et de développement, Me Rufino d’Almeida  reste serein et n’entend pas céder aux provocations. Méthodiquement, il pense maintenir la dynamique pour pouvoir conduire la barque à bon port avec des résultats plus élogieux à la fin de son mandat.

Fernand Kinmahou

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