Don de vivres aux femmes de la commune d’Ifangni Abake’s: Foundation poursuit ses œuvres sociales

 Une délégation de la Fondation Abakè est allée dans la commune d’Ifangni pour semer la joie dans le cœur d’une cinquantaine de femmes. Occasion pour les membres de la Fondation de faire don de vivres à ces dernières afin de leur permettre de célébrer la fête de Noël dans une bonne ambiance. C’était, jeudi 2 décembre 2021 à Ifangni. 

Des vivres contenant des boîtes de tomate, de sucre, de sardines, de spaghettis, d’huile, du riz, d’enveloppe financière. C’est le geste social qu’a bien voulu faire Abake’s Foundation à l’endroit d’une cinquantaine de femmes à la veille des fêtes de fin d’année. Au cours de cette cérémonie, les femmes présentes ont partagé avec la délégation de la Fondation, le travail que chacune d’elles font au quotidien. «Grande est ma joie, parce que ça a été une grande surprise de voir la présidente de la Fondation en personne dans la commune d’Ifangni», s’est réjouie Maroufath Falola, 2e adjointe au Maire d’Ifangni. A l’en croire, la Fondation a toujours un regard sur Ifangni.

«L’objectif de ce déplacement est de fêter Noël aux bonnes femmes de la commune d’Ifangni», dira la coordonnatrice nationale de la Fondation, Chérita Walter. A l’en croire, le but de la Fondation est d’aider les femmes, les enfants qui sont dans les rues. «On met un peu de beurre dans leur épinard et on a du plaisir à le faire», a-t-elle  rassuré. Elle a indiqué que la Fondation ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. «On a eu moins de monde. On s’est dit qu’avec un nombre restreint, c’est gérable pour mieux les connaître, et savoir comment les accompagner dans le futur. Après recul, on reviendra afin de les apporter un coup de main», a-t-elle ajouté. «Infiniment merci à la Fondation et que Dieu lui donne longue vie», dira Lidwine Kêkê, revendeuse de l’huile rouge et relai communautaire de village. «Je suis tellement contente parce que je ne m’attendais à ce geste de la Fondation. C’est Dieu qui l’a demandé de faire cette œuvre», a estimé Germaine Onirookou, transformatrice de noix de palmes en huile rouge.

M.M.